Mon tableur musical : la génération de la partition graphique

La dernière amélioration faite a été de générer la partition… tant que j’y étais !

Un vrai défi, car j’arrive à déchiffrer lentement une partition. Je sais aussi l’écrire.
Mais je reste bien plus à l’aise avec ma notation musicale personnelle.

Mais écrire la partition pouvait être utile, surtout si je n’étais pas tout seul à jouer.
Ou pour actualiser une partition existante après transposition.

Certes, ce n’est plus pareil, car il faut transposer du texte ou des chiffres sur un mode graphique.
Mais ce n’est finalement qu’une position de x pixels en plus ou en moins, vers le haut ou le bas, en partant d’une position de référence sur les lignes de la partition.

Bien sûr, ce n’est pas forcément très simple, et au-delà de 3 octaves (l’octave médiane, une inférieure, une supérieure) la lecture devient très difficile… Par ailleurs, ma notation ne fait pas intervenir la durée des notes, donc je n’ai, pour l’instant, généré que des noires… les blanches, les croches, etc… ce sera pour plus tard, si j’ai besoin.

Mais pour générer une partition impeccable, il existe d’excellents logiciels qui font cela bien mieux que moi, notamment MuseScore, logiciel gratuit (il faut le signaler).


Il est capable de retranscrire une mélodie à la volée, soit à partir d’un fichier midi, soit en temps réel depuis un instrument électronique (synthé, Ewi ?) raccordé à l’ordinateur, soit à partir d’une partition déjà écrite, au format PDF…
(je n’ai pas encore testé le raccordement de l’Ewi à MuseScore, mais je vais le tenter bientôt, c’est éivdent !)

Je ne vais donc pas me lancer dans cet exercice bien compliqué par rapport à mes modestes besoins.
La programmation des notes (de simples cercles noirs) sur des cellules à des hauteurs de lignes différentes, en fonction des notes d’une mélodie en mode texte dans le tableur, n’a pas été très compliqué finalement.

Ci-dessous, une copie d’écran générée dans le tableur :

Certes, je n’atteins pas la perfection de MuseScore, mais ce n’est pas mon but !

La magie est de voir les notes se poser rapidement, les unes après les autres, et de varier après transposition…
Cela reste une partition simplifiée, mais tout à fait jouable et pouvant être ensuite améliorée en tant que telle…

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